• Du bon usage d'Astropopote

    Du bon usage des infos "emboitées" d’Astropopote

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    Les deux postulats de départ déduits de l’observation.

    Comme précédemment rappelé, c’est le rapport observé et pensé entre le repère temporel qu’offrent les mouvements planétaires et le vécu de l’Homme qui fonde toute forme d’astrologie. Autrement dit, toutes ses données sont spatio-temporelles.  

    Donc relatives dirait Einstein…

    EN EFFET :

    1) Le cosmos impose des rythmes à l’Homme.
    Exemple. Midi c’est midi : c’est un fait imposé à l’Homme par le cosmos (rythme du jour). A ce titre l’Homme n’a aucun choix.
    Il en est ainsi pour toutes les « heures » sonnées par les cycles planétaires.

    2) L’homme traduit ces rythmes sous des formes sociales, historiques, collectives.
    Exemple. En Occident, traditionnellement, on s’arrête à midi pour une pause repas : la plupart des boutiques ferment, les administrations idem, les cours s’arrêtent, les cantines et les snacks se remplissent, etc… Autrement dit, l’homme occidental a globalement doublé la contrainte cosmique par une prescription sociale : la pause repas.


    1) + 2) L’astrologie « lit »/lie ce double rythme.
    Elle établit, par l’observation des faits humains, un lien entre un rythme cosmique donné et un état historique, collectif, individuel.
    Exemple. En Occident, à midi, l’heure est globalement à la pause. En croisant/liant ces deux observations, l’astrologie va considérer qu’il vaut mieux attendre 14h pour tenter de résoudre un problème administratif (au lieu de piétiner rageusement et vainement devant l’Hôtel des impôts de 12h à 14h…)

    ***
    D’où le premier postulat : 

    Observer comment les choses évoluent en fonction des « heures » sonnées par les cycles planétaires en tenant compte de différentes échelles d’espace-temps.

    Les cycles planétaires dont la durée planétaire dépasse la durée moyenne d’une vie humaine obligent évidemment à prendre un fort recul historique : il faut observer plusieurs de ces cycles, (donc plusieurs siècles) pour tenter d’en saisir la « traduction humaine » sous des formes socio-historiques récurrentes.
    D’où ce second postulat :
    Plus un cycle planétaire est lent, plus son échelle d’observation est « historique », plus il dépend d’évolutions sociales globales, de larges échelles géographiques. Ce qui ne dispense pas de l’observer sous l’angle de différentes cultures, soit sous l’angle de diverses échelles géographiques. Et comme différentes échelles de temps interviennent, il faut « coller » le cycle cosmique de près. 
    Ainsi que tout historien peut l’observer, certaines évolutions globales sont déclenchées par des décisions collectives prises à tel ou tel moment (ces décisions pouvant consister à soutenir une initiative individuelle comme par exemple le voyage de Christophe Colomb en Amérique). Le repère temporel offert par les cycles cosmiques permet (souvent après coup) de comprendre comment ces décisions se sont inscrites dans le courant évolutif général, puis d’en suivre le développement pas à pas.
    C’est à ce « travail » que vous invite ce site.
     
    Différentes échelles emboîtées les unes dans les autres.
    Au fil des jours et des semaines, Astro Popote vous proposera un certain nombres d’approches des cycles en cours, allant de l’échelle mondiale (cycles lents), à celle plus quotidienne des lunaisons (mensuels), en passant par les cycles planétaires (de durées diverses dont l’année serait une mesure référente).
     

    Pour Astro Popote ces différentes échelles de temps s’emboîtent les unes dans les autres un peu à la manière des poupées russes, le cycle le plus court étant, de facto englobé dans les plus lents, de même que notre vie quotidienne personnelle est conditionnée par la société dans laquelle nous vivons (sa situation économique, politique, sociale, morale, etc.), elle-même dépendant du contexte qui l’englobe (Europe, Monde etc…)

    A chacun de faire sa « popote »…
    A partir de là, à chacun de faire sa « popote » en fonction du pays où il vit, de sa situation personnelle, de ses centres d’intérêt, etc.

    Par exemple le face à face structurant avec tout ce qui a commencé à se construire ou se reconstruire en 1996, qui commencera cet automne 2009, n’aura évidemment pas le même sens dans tous les pays, par plus qu’il n’aura le même sens pour la musique ou la médecine (même si, concernant les domaines sociaux, les parallèles soient souvent frappants).

    Et pourquoi pas de faire le « pote »…
     
    Les files de commentaire sont ouvertes pour permettre à tous d’enrichir la réflexion de tous… De même, afin de ne pas « répéter » inutilement des études menées par d’autres, de nombreux liens vers des thèmes traités pas d’autres astrologues seront au fur et à mesure ajoutés dans les pages d’Astropopote.

    Et le « pop » pote…
     Tous les champs de recherche sont bienvenus. Au besoin et sur demande, ou sur proposition, un article pourra faire office de « chapo » pour une discussion collective sur tel ou tel sujet (dans la mesure ou y seront respectées les règles habituelles qui régissent les propos sur Internet).

    A partir de là à vous de jouer.
     

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